Jolie sourir de printemp,
les fleures pousse en ce moment,
j'ai envie de resté,
planté la au millieu du près
les bras tendu, mes jambes droite,
le bois tordu, les habits de longue date
c'est elle qui ma déssiné se sourir en tramblottant,
l'innocente petite fille, pas très grande a ce moment
avec son sourir et ses fausette, ses jolie cheuveux roux,
et ses grands yeux noirsette et son air "touche a tout"
maintenant elle ma oublié,
je suis tout seul a espéré
qu'on vienne me voir,
jouer avec moi rien qu'un soir
je veut pouvoir mourir,
sans être abandonné a souffrir,
je suis peut être fait de paille,
mais mon coeur bats dans cette paguaille
alors je vous en supplie,
venez me voir même un lundi,
dans ce champ délésser,
que seul les corbeaux ose approcher
quelques années plus tard,
la nuit tombé entre les arbres
une jeune femme marchait dans un ancien champ de blé,
vers une sillouette immobile, elle se dirigé
je l'ai tout de suite reconnu,
la petite fille étais revenu
ses grands yeux noisette briller,
ses long cheuveux roux s'ébbouriffé
longtemp nous nous sommes observé, sans bougé,
avant qu'elle ne me déracine et m'emmena loin d'ici
comme j'étais heureux se jour la,
elle me parlait comme autrefois,
puis un jour, a sa mort ont ma brulé
pour qu'enfin je repose en paix a ses côté
je n'étais peut-être qu'un épouventaille mal habillé,
mais j'ai toujours eu le sourir malgré les années